Le paysage du Lijiang Partant du mont Diecai et de la Colline [n. f 山丘]en Trompe d’Eléphant, un bateau de tourisme descend le Lijian jusqu’à la ¨galerie de peinture¨ et au mont des lotus de Yangshuo. Le trajet [m. 路程], long de 83 km, constitue une véritable galerie naturelle attrayante. A travers la brume du Lijiang, nombre de rochers aux formes curieuses surgissent[surgir:出现, 突然出现;] devant les yeux des visiteurs; chaque rocher, comme un lotus sorti de l’eau, projette sa silhouette dans la rivièvre. Plus loin, on peut voir la Plage du Riz, le Rocher de la Fée, la Pierre d’attente du mari, l’Etang du gong et du tambour, rocher en forme de couronne, et le village des pêchers. En descendant de Yangti, on voit d’abord une falaise abrupte au bord du Lijiang, le fameux Mont de la Peinture ( Huashan)Il est tacheté de couleurs variées et , l’imagination aidant, on peut discerner [v. t. 认出, 认清, 看出;]les contours [n. m. pl. (河流道路的)蜿蜒曲折 ]de neuf chevaux hennissant [hennir v. i. (马)嘶, 叫]vers les nuages ou s’abreuvant au bord de l’eau, différents les uns des autres. Plus en aval[n. m . sing. 下游], à Huangbutan( Plage de Tissu jaune), le Lijiang s’élargit [élargir v. t. 放宽,法语论文, 放大,法语论文题目, 扩大] tout à coup et l’eau se fait plus claire et plus calme avec des rochers aux formes plus bizarres. Sur la berge [n. f 陡峭的河岸]s’élèvent sept pics qui ressemblent à autant de filles gracieuses qui, appuyées l’une sur l’autre, contemplent calmement la rivière. Plus loin, on arrive au bourg [n. m. 乡镇, 市镇, 村落 ] de Xinping au cachet ancien et calme, la colline Caishi en avant plonge directement dans l’Etang aux Banians, et le mont Wuzhi derrière, rivalise de beauté avec elle. Enfin, on arrive à Yangshuo, un port fluvial. |