레몽 크노의 Zazie dans le métro에 나타난 언어유희 분석과 번역비평 [韩语论文]

资料分类免费韩语论文 责任编辑:金一助教更新时间:2017-04-27
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« Résumé » Analyse et critique de la traduction des jeux de mots dans Zazie dans le métro de Raymond Queneau AN saerom (Université Korea)   Pendant longtemps les critères d’évaluation se limi...

« Résumé » Analyse et critique de la traduction des jeux de mots dans Zazie dans le métro de Raymond Queneau AN saerom (Université Korea)   Pendant longtemps les critères d’évaluation se limitaient à la dichotomie fidélité ou opposaient la traduction littérale à la traduction libre. Si l’on ne tient pas compte de l'unicité du texte et de l’un ou des deux critères pour établir les normes cela peut être perçu comme un défaut une erreur de traduction. Cependant, les traductions académiques dépassent ces dichotomies. On évite également d’attacher trop d’importance aux erreurs de traduction. Aujourd’hui, on va au-delà, en se focalisant sur la traduction et les traducteurs et les spécificités des œuvres littéraires, et sur le fait que la situation est critique en termes de traduction pour comprendre les horizons de la traduction. En particulier, il ya une œuvre littéraire de la spécificité littéraire. Mais cela ne tient pas compte de la spécificité de la littérature, qui ne se borne pas à signaler les erreurs ou écarts de traduction. Autrement, il ne serait pas utile de comprendre les horizons de la traduction pour aller de l'avant. Nous avons commencé par nous soucier des spécificités de la traduction des œuvres littéraires, enallant au-delà des éléments dichotomiques mentionnés ci-dessus. En particulier, le jeu de mots montre qu’il est souvent difficile de se fier au critère de fidélité en traduction littéraire. Par conséquent, nous avons choisi de nous intéresser à la traduction des jeux de mot somniprésents dans les œuvres de Raymond Queneau. Le jeu de mots est certainement l’une des caractéristiques majeures de Zazie dans le métro. Bien qu'un tel terrain de jeu dans le même temps montre qu’il est vraiment impossible de faire valoir que la traduction est une question de savoir si unjeu de mots ne peut pas être traduit. Les objectifs de recherche sont d'examiner la définition du jeu de mots, ses stratégies de traduction, l'intervention du traducteur, la recréation du traducteur et les stratégies pour y parvenir. Sur cette base, à travers l'étude et l'analyse des précédents travaux de recherche nous avons fait une étude du jeu de mots et de sa traduction dans Zazie dans le métro. Zazie dans le métro a frappé les différentes éditions linguistiques, par ses jeux de mots qui émaillent le roman. Nous avons relevéles passages où les jeux de mots n’avaient pasété restitués et regardé sur quels éléments le traducteur s’était basé pourrendre cette particularité. Nous avons d’abord présenté brièvement Raymond Queneau, ses œuvres, ses traductions, en partant desa traduction coréenne. Après avoir dressé un tableau général des jeux de mots,leur définition, leur classification, leur théorie et présenté les stratégies de traduction. Nous avons examiné les études antérieures portant sur les jeux de mots chez Queneau et leur traduction, et en particulier dans Zazie dans le métro. Tout comme Georges Pérec, Italo Calvino et bien d’autres, Raymond Queneau cherche à élargir les horizons de la littérature avec un groupe d’écrivains (au croisement des mathématiques et de la littérature), dont l’acronyme est OuLiPo (l'Ouvroir de littérature potentielle, groupe de recherche en littérature expérimentale fondé le 24 novembre 1960 par l’écrivain Raymond Queneau et le mathématicien François Le Lionnais passionné par la littérature dès 1943). Les membres de ce groupe établissent des contraintes formelles (dont les règles principales sont littérature ou poétique, mathématiques et fantaisie/jeu) et les traduisent sous forme de textes. En particulier, ils explorent les possibilités des nouvelles technologies en appliquant une formule mathématique(de l'arithmétique ou de l'algèbre) en développant une variété de combinaisons possibles et abolissent les différences entre la langue écrite et la langue parlée. Par exemple, déjà en 1942, dans Exercices de style, Queneau écrit lamême histoire de 99 façons différentes. Selon Lionnais, « nous appelons la recherche de formes et de structures nouvelles qui pourront être utilisées par les écrivains de la façon qui leur plaira ». Lionnais donne aussi une autre définition au groupe Oulipo : « Oulipo est organisme qui se propose d’examiner en quoi et par quel moyen, étant donné une théorie scientifique concernant éventuellement le langage (donc l’anthropologie), on peut y introduire du plaisir esthétique (affectivité et fantaisie) » et aux oulipiens : « Les oulipiens sont les rats qui ont à construire le labyrinthe dont ils se proposent de sortir ». Le concept de contrainte est le concept principal du processus de travail du groupe Oulipo. Pour les membres de cegroupe, les contraintes consistent à sortir de la fonction premièrede la langue, afin d’en révéler son potentiel. Habituellement, les gens acceptent les normes, mais refusent les contraintes, il apparaît donc un conflit ici entre les normes et les contraintes. Si ce conflit peut sembler en contradiction avec les contraintes linguistiques, les membres du groupe Oulipo cherchent à éveiller l'imagination plutôt qu’à la stimuler ainsi qu’à développer le potentiel de la langue plutôt qu’à en montrer la virtuosité. Déjà en 1937, Queneau expose clairement ses pensées dans Bâtons, chiffres etlettres :« La réforme de l'orthographe, ou plutôt l'adoption d'une orthographe phonétique s'impose, parce qu'elle rendra manifeste l'essentiel : la prééminence de l'oral sur l'écrit. II s'agit donc non de réforme, mais de création. Le français ira de son côté, le vulgaire de l'autre ; on devrait même s'attendre à des échanges fructueux, plus tard. Pour le moment, voici un accouchement difficile : la mère se refuse à enfanter, et pourtant l'enfant demande bien à naître ! Je ne veux pas croire que ce soit un fibrome. Encore une fois, l'orthographe est plusqu'une mauvaise habitude, c'est une vanité. Nos langues sont des langues populaires, vulgaires, parlées ». Queneau ajoute : « c'est que la réforme rationnelle de l'orthographe amènerait peu à peu au phonétisme et alors on découvrirait à quel point le français parlé est loin du français écrit, on s'apercevrait en fin de ce que je veux montrer ici : que c'est une autre langue ». Ainsi, Queneau atenté de s’imposer des contraintes dans un roman (Zazie dans le métro) ainsi qu’un type de réformation de l'orthographe (‘orthographe phonétique’). Raymond Queneau se sert des jeux de mots à des fins tantôt humoristiques, tantôt burlesques, tantôt satiriques. Il essaie ainsi de montrer le sentiment de l'absurde de la langue, d'en dénoncer son absurdité. À travers le parti-pris satirique ou humoristique, Queneau veut à la fois dénoncer l'absurdité et l'artificiel non seulement du langage, mais aussi du monde. Réformateur de la langue et des mœurs françaises, Queneau cherche ainsi à dénoncer le monde conventionnel, à donner des lettres de noblesse à la langue familière. Queneauveut inverser les valeurs, rompre avec les normes stylistiques, bousculer l’ordre établi. Queneau cherche toujours à ennoblir l'oralité (lenéo-français). Sur la base desétudes antérieures menées dans cette littérature, nous avons distingué le jeu de mots basé sur le lexique, l’utilisation (volontaire) de formesagrammaticales, celui jouant sur l’orthographe phonétique et celui jouant surl’intertextualité. Queneau préféraitécrire la langue parlée, lui donnait une existence écrite. Réformateur de lalangue, il refusait les normes, le langage littéraire qu’il assimilait à unelangue morte. Il voulait en faire une langue vivante en la bousculant (le«néo-français»). Il résistait auxrègles imposées de la langue écrite, partisan du néo-français en mettant l'accent sur la réforme de l'orthographe etl’oralité. Dans la section 3,nous avons classé les différents types de jeux de mots quenous avons relevés dans Zazie dans le métro et dans la section 4 nousavons tenté de critiquer les manières dont ils ont été traduits. En nous basant surles études antérieures, nous avons subdivisé la section 3 en quatre parties enmettant en rapport ce qui sert de matériaux aux jeux de mots de Queneau etl’usage qu’il veut faire de la langue : 1. les jeux de mots lexicaux, 2. les tournures agrammaticales, 3. les jeux de mots jouant sur l’orthographe phonétique (transcription phonétique), 4. les jeux de mots jouant sur l’intertextualité. Tout d’abord, dans la catégorie des jeux de mots linguistiques, nous avons examiné les caractéristiques de la langue parlée dont notamment l’usage de l’argot ou de la langue familière dans des constructions pédantes ou inversement (amenant le lecteur à sourire), la création de néologismes et le recours à des mots étrangers. En outre, parmi lesmots appartenant à la langue parlée, nous avons distingué lesquels pouvaient constituer des jeux de mots et avons analysé la façon dont le français parlé constituait un jeu de mots. Deuxièmement, nousavons traité les jeux demots consistant à commettre délibérément des erreurs grammaticales dans unroman. Queneau use souventde constructions grammaticales complexes même pour les locuteurs natifs pourcréer des jeux de mots et montre aussi l’autodérision des lecteurs françaisquant à leur ignorance grammaticale (ex. j’énonça*, j’énonçais, j’énonçai).  Troisièmement, nous avons examiné les jeux demots jouant sur l’orthographe phonétique (consistant àtout transcrire phonétiquement, ex. Doukipudonktan au lieu de « D'où qu'il pue donc tant ? »). Le lecteur prend plaisir à en comprendre la signification non pas lors de lapremière lecture, mais lorsqu’il le prononce à voix haute. Queneau se moqueaussi de la prononciation des Français lorsqu’ils parlent une langue étrangère(ex. bicose « because », bâille-naïte « bynight »). Enfin, dans unesection de lecture en nous servant de l’intertextualité, nous avons trouvé desparodies et des allusions dans Zazie dans le métro et avons analysé àquel roman, chanson, poème, etc. Elles étaient reliées. Nous avons aussi analysé des jeux de mots en recherchant des liens avec d’autres textes de Queneau. Dans la section 4,nous avons tenté de critiquer la traduction coréenne de Zazie dans le métroen nous basant sur l'analyse de la section 3. Les traducteurs considèrent que les jeux de mots ne peuvent pas être traduits par une simple équivalence sémantique et qu’il faut donc sortir de principe. Par ailleurs, lorsqu’on traduit un jeu de mots, il est important de comprendre correctement le rôle du jeu de mots dans la production du sens du texte et de ses effets. En conséquence, la traduction d’un jeu de mots n’est pas le fruit du hasard, il s’agit de bien comprendre l'intention et l'effet du jeu de mots dans le texte source, et ilest important de reproduire les effets du jeu de mots qui correspondent dans lalangue cible (ici le coréen).  Nous avons proposé une analyse globale basée sur la critique de la traduction du jeu de mots pour analyser la traduction coréenne. Tout d'abord, nous avons examiné si les traducteurs ont compris le jeu de mots dans le texte original, puissi cette traduction est littérale. Enfin, nous avons vérifié quele jeu de mots a été efficacement restitué en coréen. Plus précisément, nous avons examiné si la traduction du jeu de mot qui a utilisé la caractéristique du vocabulaire de la langue parlée (c’est-à-dire l’oralité quien faitune base) a été bien reproduite, et en particulier dans le cas des néologismes. Dans la traductiondes jeux de mots jouant sur des constructions agrammaticales(erreurs de conjugaison, de temps, etc. ; ex.*j’énnonçaau lieu de j’énnonçai), nous avonsanalysé si elles avaient bien été reproduites en coréen. Dans les jeux de mots jouant sur l’orthographe phonétique et sur la prononciation des mots étrangers (anglais principalement) par des Français (bicose « because », apibeursdétouillou « happybirthday to you »), en particulier, nous nous sommes assurée que l’intention de Queneau et les règles qu’il s’impose avaient bien été reproduites en coréen. Dans la section de lecture où nous nous sommes servie de l’intertextualité, nous avons examiné si l’allusion ou la parodie a également été reproduite dans la traduction. « La parodie peut adopter deux formes,et deux formes seulement : l’hétéroparodie (ex. des recours à Hamlet dans Zazie dans le métro) qui imite les œuvres de sautres, et l’autoparodie (ex. le bref monologue de Cidrolin dans Les Fleurs bleues rappelle le monologue de Gabriel dans Zazie dans le métro) où l’auteur renvoie à ses propres ouvrages. Chacune a, naturellement, ses vertus, et Raymond Queneau, en athlète complet de la littérature, use de l’une et de l’autre. L’hétéroparodie a pour but et pour résultat d’élargir les dimensions d’une œuvre, ou plutôt de l’inclure dans un plus vaste ensemble créateur. Les éléments parodiques agissent alors comme des références, pattes blanches et mots de passe. S’ils ne sont pas trop évidents, on aura une amorce d’opération potentielle ». Nous avons donc examiné si la traductrice de Zazie dans le métro avait restitué l’effetdes allusions et parodies du texte source dansle texte cible.  Notre étude établit une classification des jeux de mots. Nous avons vérifié que ces derniers avaient bien été restitués dans le texte cible, le cas échéant, de quelle manière et avons analysé quels effets pouvait ressentir le public cible. Et lorsque le jeu de mot avait disparu dans le texte traduit, nous avons observé pourquoi et parfois proposé notre traduction. Les traducteurs font de leur mieux pour recréer les effets de l'original et cette approche ne se limite pas au critère de la fidélité. Ils essaient de faire preuve de créativité. Nous veillons à ce que l'intention initiale du traducteur comme le contenu, la forme et l’effet ont été correctement reproduits. La traductrice de Zazie dans le métro a recherché tous les jeux de mots et elle a voulu que le lecteur coréen ressente chacun d’entre eux sans en manquer aucun, afin d’optimiser son efficacité. Elle a également recouru le moins possible aux appels de notes afin de ne pas réduire les effets humoristiques ou burlesques. Elle pense que le traducteur doit faire preuve de créativité lorsqu’il est activement impliqué. Le traducteur doit s’efforcer de respecter les règles et les intentions de Queneau et faire preuve de recréation, sans faire perdre le plaisir du lecteur de la langue cible. La traductrice de Zazie dans le métro attache beaucoup d’importance à transmettre au lecteur les règles des jeux de mots que Queneau s’impose. Par exemple, lors dela traduction d’un jeu de mots pour créer un changement dans le temps du verbe (ex. J’énonçaivs j´énonçais), on peut recréer une erreurgrammaticale dans la traduction coréenne ou un autre type d'erreur. Mais les erreurs de traduction dans le temps du verbe sont utilisées seulement pourconserver l’effet burlesque de l’original. Aussi, lorsqu’il est impossible de recréer un jeu de mots à un endroit précis du texte source dansle texte traduit, la traductrice s’est efforcée d’en reproduire un autre un peuplus loin. Par conséquent, lorsque l’on regarde l’ensemble du texte, le nombre total de jeux de mots dansle texte coréen a voisine celui du texte de Queneau. Mais lorsque le jeu demots est recréé ailleurs dans le texte afin de pallier les pertes d’un jeu demots, il ne nous semble pas que l’intention de Queneau ait été respectée et quel’effet humoristique demeure. En d'autres termes, lorsque certains jeux de mots n’ont pas été recréés au même endroit que dans le texte original, il nous paraît difficile de parler de « recréation » et les reproduire ailleurs dans le texte fait perdre les effets comiques de l’original. Cette étude montre que la traduction d’un texte original tout en le respectant, tout en lui étant fidèle, devient à son tour une œuvre à part entière, indépendante et créative. Nous espérons que de telles traductions ouvriront de nouveaux horizons dans ledomaine de la traduction. Dans ce mémoire, nous avons étudié la traduction en coréen des jeux de mots dans Zazie dansle métro de Raymond Queneau. Mais l'écriture de Queneau si talentueuse nese limite pas aux jeux de mots. Elle s’étend à l’esthétique et aux activitésdans le domaine cinématographique. Dans de futures recherches, nous envisageons d’étudier davantage avec unevariété d'activités liées à l'art et à l'écriture de Raymond Queneau.

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