현대 사회에서 문화와 예술은 '문화기술', '문화산업'과 같은 용어가 생길만큼 국가경제의 발전에 중요한 요소이다. 문화역량수준이 경제 발전 정도의 척도가 되는 지금, 문화컨텐츠의 생산... 현대 사회에서 문화와 예술은 '문화기술', '문화산업'과 같은 용어가 생길만큼 국가경제의 발전에 중요한 요소이다. 문화역량수준이 경제 발전 정도의 척도가 되는 지금, 문화컨텐츠의 생산자인 예술가들에게 창작 지원금이나 창작공간 레지던스와 같은 직접적인 지원을 제공하는 것은 예술인의 창작활동을 더욱 촉진시켜 국민의 문화 수요를 충족하고 경제성장에 일조한다. 그러나, 경제적 고민 없이 순수하게 예술활동을 통해 얻은 수익으로 생계를 유지하는 예술인들은 극히 소수에 불과하고, 대다수의 예술인들이 경제적 궁핍과 고용 불안에 끊임없이 허덕이고 있는 실정이다. 우리나라는 2004년 '예술인의 4대보험 가입문제'를 국정의제화하면서 예술인 복지를 정부 정책으로 적극 모색하기 시작하였지만 노동부, 경제부 등 타 부서의 반대에 부딪혀 항상 소외되어왔다. 그러나 2011년 한 젊은 작가의 생활고로 인한 자살을 계기로 예술인복지법 제정에 속도가 붙었고 국회의원과 다수의 저명한 문화예술인들의 노력 끝에 마침내 2012년에 예술인복지법이 제정되었다. 또한 예술인복지항목에 해당하는 실질적인 사업 수행을 위해 문화체육관광부의 산하기관으로 예술인복지재단이 설립되었다. 예술인복지에 대한 관심은 한국에서 논의되기 이전부터 국제회의기구에서 이미 여러 차례 논의되어왔다. 유네스코에서는 1972년 '현대 사회에서 예술인의 위치와 역할'에 대한 논의가 시작되었는데, 1974년 국제노동기구(ILO)의 자문을 얻어 '예술인의 지위' 문제를 구체적으로 검토하였고, 1977년에는 회원국을 대상으로 각국 예술인의 교육 및 훈련 현황, 저작권 및 임금 현황, 예술인의 근로조건, 사회보장 현황에 대해 조사하였다. 이러한 일련의 노력 끝에 1980년 유네스코 제21차 총회에서 '예술가 지위에 관한 권고'를 채택하고 회원국의 예술가에게 '사회생활, 사회진보, 문화발전에 중요한 역할을 수행하는 문화적 노동자로 인정하여 사회보장과 보험규정으로부터 적절한 혜택을 받을 자격'을 부여할 것을 권고하였다. 문화강국 프랑스는 이보다 앞선 1930년대부터 영화스태프들의 단발적인 고용문제를 해소하고자 작업기간이 아닌 때에도 영화스태프들에게 실업급여를 제공하는 '앵떼르미땅(intermittent) 제도를 도입하여 예술인복지에 힘써왔다. 앵떼르미땅 제도는 전세계적으로 예술인복지의 대표적인 모델로 여러차례 논의되어왔고, 한국 또한 예술인복지제도 도입 당시 프랑스의 앵떼르미땅제도를 모델로 하고자 노력 하였다. 따라서 이 논문은 이러한 배경에서 출발하여 (1) 한국의 예술인복지 현황에 대해 살펴보고, (2) 프랑스의 예술복지 정책과 비교 및 분석하였다. 먼저 한국의 예술인복지법의 탄생배경, 새로 제정된 복지법의 주요 특징, 그리고 예술인들이 처한 실제 상황에 대해 살펴본다. 그리고 예술인복지정책 사업의 수행을 위해 설립된 예술인복지재단의 미션과 비전, 사업내용에 대해 연구한다. 마지막으로 단순하고 일시적인 창작지원금이 아닌 예술인을 위한 사회보장체계, 세제혜택 등 간접적이고 장기적인 지원을 하는 프랑스의 문화정책 사례를 비교 분석하며 한국의 문화정책이 나아가야 할 방향을 제언하였다. 한국의 예술인들이 보다 나은 환경에서 예술활동을 하기 위해서는 지원금을 받는 예술인들의 범위가 보다 명확하고 폭넓어져야하고, 예술인들을 위한 창작지원금과 저소득층을 위한 긴급복지의 개념을 분리해야할 것이다. 그와 더불어 구두계약, 턱없이 낮은 임금 등 문화예술계의 불공정 관행을 개선 시키려는 문화정책과 예술인복지제도에 대한 적극적인 홍보가 필요할 것이다.
À notre époque, « la culture et l’art » sont considérés comme des facteurs de résilience pour le développement économique et social, ainsi que comme le fondement de la communauté politique. Mettre l... À notre époque, « la culture et l’art » sont considérés comme des facteurs de résilience pour le développement économique et social, ainsi que comme le fondement de la communauté politique. Mettre l’accent sur le soutien direct des artistes permettrait d’assurer de satisfaire aux demandes, et, dans le monde artistique, de contribuer à l’évolution de l’ensemble de la société. Un monde idéal verrait tous les artistes faire leurs créations artistiques sans difficultés financières, mais en réalité il en est peu qui peuvent gagner leur vie en tant qu’artistes à temps plein : leur activité est intermittente, et ils souffrent de mauvaises conditions de travail. Du point de vue international, c’est depuis des années 1970 que le sujet du statut de l’artiste commence à être mentionné à l’Unesco. En 1972, l’Unesco a fait une proposition sur « le statut et le rôle de l’artiste dans la société moderne » ; deux ans après, il a envisagé ce point en consultant l’Organisation internationale du travail. En 1977, l’Unesco fait, pour les États membres, une enquête sur la formation, l’exercice, l’emploi, le droit d’auteur, les rémunérations, les conditions de travail, les situations de protection sociale, à la suite de l’organisation de l’enquête. Enfin, dans le cadre de la Conférence générale de l’Unesco en 1980, les États membres se sont réunis pour définir les conditions nécessaires au respect des garanties économiques auxquelles l’artiste a droit en tant que travailleur culturel. Avec le mouvement mondial, la politique culturelle visant au bien-être des artistes en Corée est entreprise à partir des années 1970. Mais l’objet de la politique culturelle coréenne cible avant tout les laissés-pour-compte de la société dans le monde artistique, cela permet de faire plaisir aux citoyens dans la culture et l’art sans discrimination, et d’élever la qualité de vie et la sensation du bien-être des peuples. Pour cette raison, les bénéfices des citoyens, demandeurs de culture, sont en train de s’améliorer au niveau de la dimension démocratique culturelle ; par contre, les dispositifs pratiques pour les artistes, producteurs de culture, comme le financement direct ou la résidence d’artistes, sont encore insuffisants. C’est très récemment que la Corée a jeté sérieusement un œil à la question du bien-être des artistes. Après une longue période de débats et d’atermoiements législatifs au sujet du bien-être des artistes en Corée du Sud, le suicide d’une écrivaine jeune et pauvre en 2011 a suscité d’emblée une législation visant au bien-être des artistes, ainsi que la création de la Fondation du bien-être des artistes en 2012. Ce travail va donc nous aider à répondre aux problématiques suivantes. Quel est le rôle de la Fondation du bien-être des artistes pour assurer le bien-être des artistes, activer les programmes de soutien proposés par le ministère de la Culture, du Sport et du Tourisme, et développer le niveau culturel général de la société coréenne ? Pour répondre à cette question, une première partie sera consacrée à la présentation de la législation du bien-être des artistes, en revenant sur son historique et les principales mesures du projet de loi, ainsi qu’à la situation précaire des artistes avec les recensements des artistes menés en 2015. Ensuite nous tenterons d’expliquer la création de la Fondation du bien-être des artistes à la suite de la législation, et de décrire ses missions, ainsi que les fonctions qui lui ont été agréées par le ministère de la Culture, du Sport et du Tourisme pour les remplir. Cette dernière partie sera complétée par une analyse de la politique culturelle française, qui était le modèle de celle de Corée concernant le bien-être des artistes, et par une analyse des problèmes de la politique culturelle coréenne en matière du bien-être des artistes. Enfin nous terminerons par des recommandations visant à développer le niveau culturel général de la société coréenne. ,免费韩语论文,韩语论文范文 |